Selon plusieurs internautes, Kimi Antonelli aurait volontairement facilité le dépassement de Lando Norris pour lui permettre de gagner quelques points supplémentaires dans le championnat. Cette interprétation a rapidement circulé sur les réseaux sociaux après la course.
Le jeune pilote italien, encore débutant en Formule 1, a été la cible de nombreux messages haineux, certains accusant son comportement d'être déloyal. Pourtant, comme l’a précisé son entourage, il s’agissait simplement d’une erreur de pilotage sans aucune intention de favoriser un concurrent.
« Une simple erreur, il n’a pas laissé passer Lando Norris », a expliqué un membre de son équipe.
De nombreux observateurs et fans de sport automobile ont condamné les attaques subies par Antonelli, rappelant que la pression et la critique font partie du sport, mais ne doivent jamais dégénérer en haine personnelle sur les réseaux sociaux.
« Les pilotes apprennent et grandissent, ils n’ont pas à subir ce genre de déferlement », a commenté un ancien pilote.
Cette controverse relance le débat sur la toxicité des réseaux sociaux dans le milieu du sport professionnel, notamment envers les jeunes talents.
Résumé auteur : L’affaire Kimi Antonelli illustre la fragilité des jeunes pilotes face à la haine en ligne, souvent déclenchée par des interprétations hâtives d’incidents mineurs.